LA POLICE
- La réputation des agents de police en France est en ruines à cause du
fait qu’ils règnent avec la force ; la force et la brutalité, ça c’est leur méthode (leur réputation leur
précède)
- Il y a plusieurs exemples des bavures policiers – même les sites-web
comme ceux d’Amnesty International soulignent les histoires des jeunes noirs qui sont attaqués dans les rues de Paris
à cause de la couleur de leur peau, les journaux présentent des racontes comme une jeune fille qui a été attaqué pendant une
manifestation chez elle à Lyon par les policiers, même quand elle n’avait pas posée une menace
- L’exemple le plus célèbre de ce type de racisme, c’est le
massacre des Algériens à Paris en 1962, quand 200 cent Algériens étaient rassemblés, tués et leurs cadavres étaient jetés
dans la Seine. Maurice Papon, le chef de police à l’époque, était condamné en 1999 pour des crimes humanitaires contre
les Juifs pendant la deuxième Guerre Mondiale mais il n’était jamais trouvé coupable pour le fait que c’était
lui qui avait donné les ordres aux policiers de tuer les Algériens il y avait 37ans.
- Les Français aussi ont une réputation d’utiliser la violence –
particulièrement pendant les grandes manifestations – mais ce n’est pas toujours tous les manifestants qui l’en
participe, c’est souvent la minorité qui le gâte pour la majorité ; à Strasbourg, par exemple, plus tôt cette année,
les manifestants agressives ont brulé les bâtiments entières
- Est-ce que acceptable, ce méthode ? A mon avis, non, parce que
je suis pacifiste et je ne vois aucune raison d’utiliser la violence – personnellement, il y a toujours une autre
moyenne/chemin – et ce n’est pas du tout acceptable quand on attaque un innocent (les bavures policières ne sont
jamais justifiés), mais ce n’est jamais si simple que ça, car si on pense de l’anecdote « la fin justifie
les moyens » et si, avec la violence, on trouve de l’information et on achève des résultats – avec les suspects
de terrorisme, par exemple – si c’est mieux à la fin, puis c’est très difficile de disputer le contre.
L’IMMIGRATION
- L’immigration est au cœur des débats sociaux, culturaux,
politique, même religieux et en 2006, selon INSEE, il y avait 4,6 millions d’immigrés en France
- Dans les années trente, la France avait plus d’immigrés qu’aux
Etats-Unis, mais dans les années soixante-dix, les règles sur l’immigration ont commencé de changer et maintenant c’est
pratiquement impossible pour immigrer
- Le journal nous parle souvent des clandestins et des sans-papiers qui
se donnent beaucoup de mal pour essayer de voyager ailleurs de chez eux – le cas le plus bien-connu en France actuellement,
c’est la « jungle » à Calais où 400 immigrés restent en essayant de venir chez nous. Les conditions de vie
sont épouvantables – ils sont sans abris, sans nourriture, sans l’eau courante, sans bâtiments, sans aide, sans
l’argent … sans tout
- Ce cas-là provoque la question : c’est à qui de s’en
occuper ? Est-ce que l’Etat, la municipalité, la communauté de Calais, ou est-ce que tout pour les organisations
bénévoles ? Moi, je peux penser de très peu de choses que je pourrais faire pour les aider
- Dans les dernières décennies, il y avait un changement de mentalité
vers les étrangers – il y a deux facteurs qui l’a contribué – un facteur social, c’est que les Français
sont très fiers de leur identité national et ils ne veulent pas que leur sang soit dilué, et le facteur économique du protectionnisme
– un Français ne voulait pas perdre son boulot à un immigré qui pourrait rester dans le pays pour une année ou deux
et puis s’en partir.
- Le protectionnisme est lié à la délocalisation, où les grandes entreprises
bougent leurs usines aux autres pays car c’est moins cher (et plus facile pour eux) – les Français accuseraient
les immigrés
- C’est important de comprendre que pas tous les immigrés en France
sont des clandestins et des sans-papiers, ils ne travaillent pas tous dans le noir, et s’ils travaillent, ils sont contribuable
aussi, donc ils donnent ainsi qu’ils gagnent
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